Il y a la peur de ne plus jamais tomber amoureux et l'amour de la solitude.
Nos rêves? qu'en a t-on fait? Brulés, envolés, portés disparus, en fumée.
Et puis qui a besoin de rêves quand on a la drogue ? Douce liberté...
Amour, horreur mystique et fantasmée des profondeurs de soi,
Tu nous auras, ou nous a déjà eu, nous portons tous nos guerres.
Jolies balafres sur nos figures désenchantées, nos armures éventrées.
Edit :
Il y à la peur de ne plus jamais être seul et l’amour de l’autre,
Nos réalités ? qu’en a-t-on fait ? Opaque, brouillées, niées ou oubliées ;
Derrière la fumée plus rien ne se voit ; qui a besoin de drogues quand on peut rêver ? Douce liberté…
Amour, envie démystifiée de faire sortir l’horreur des profondeurs de soi,
On pleure ces grimaces, balafres éphémères, traces ou égratignures sur une armure jamais dure ni mature telle le mur que l’on peine à tracer autour de soi
Edit :
Il y à la peur de ne plus jamais être seul et l’amour de l’autre,
Nos réalités ? qu’en a-t-on fait ? Opaque, brouillées, niées ou oubliées ;
Derrière la fumée plus rien ne se voit ; qui a besoin de drogues quand on peut rêver ? Douce liberté…
Amour, envie démystifiée de faire sortir l’horreur des profondeurs de soi,
On pleure ces grimaces, balafres éphémères, traces ou égratignures sur une armure jamais dure ni mature telle le mur que l’on peine à tracer autour de soi
Etienne R-C
Il y à la peur de ne plus jamais être seul et l’amour de l’autre,
RépondreSupprimerNos réalités ? qu’en a-t-on fait ? Opaque, brouillées, niées ou oubliées ;
Derrière la fumée plus rien ne se voit ; qui a besoin de drogues quand on peut rêver ? Douce liberté…
Amour, envie démystifiée de faire sortir l’horreur des profondeurs de soi,
On pleure ces grimaces, balafres éphémères, traces ou égratignures sur une armure jamais dure ni mature telle le mur que l’on peine à tracer autour de soi.